Programmation

Cette exposition installative s’inscrit dans une recherche poursuivie par Dominique Laquerre privilégiant le discours architectural comme véhicule à des préoccupations qui s’attachent aux aspects humains et philosophiques.

Anna Boghiguian entraîne le spectateur dans l’univers de ses cahiers de dessins, fidèles témoins d’un itinéraire de cinq ans (1981 à 1986) qui a fait voguer son âme à la dérive au gré des continents.

DARE-DARE propose une exposition des collages réalisés par Jean et Serge Gagné pour leur film « Le royaume ou l’asile ».

L'exposition de Dominique Chalifoux confronte le corps humain et le corps animal à travers leur nature fragile d’habitacle, leur vulnérabilité.

Cette installation présente une faune moribonde composée de poissons infirmes, sales, tachés, déchirés.

L’essence transcendée du lieu architectural, le Mont St-Michel, sa vocation mystique et séculaire, son passage, son altération temporelle, sa fonction sociale d’avant et de maintenant transmue l’éphémère tragique de la vision d’un voyage, d’un pèlerinage et de ses profanations touristiques et mercantiles.

Cette exposition rétrospective raconte l’histoire de cinq années de collaboration entre deux femmes, Josée Lambert et Alice Bergeron.

L’exposition de John Drew Munro présentée à DARE-DARE rappelle le pouvoir de la nature sur l’acte créateur.

Marie-Hélène Robert ne peint pas, elle ne dessine pas, elle photocopie.

Les arbres de Louiselle Frigon sont peints sur des toiles découpées en rectangles, puis en carrés pour être ensuite rassemblées.

Monique Veillette expose à DARE-DARE trois sculptures construites avec du verre, du métal et du bois.

Les œuvres de Sylvie St-Marie présentent, à différent degrés, des formes géométriques qui apparaissent comme des fragments d’une image à reconstituer.

Christina Horeau explore la matière en créant des interactions entre des objets familiers.

DARE-DARE présente des peintures et médiums mixtes par Louis Fortier.