Programmation

Cette marche urbaine prend comme canevas de travail le concept de dé-programmation : une idée d’abord associée, dans sa dimension plus péjorative, à une déstructuration ressentie depuis quelques années dans ce secteur parfois «vampirisé» qui inclut l’Université Concordia.

Il s’agit d’un “forum ouvert” d’un après-midi qui vise à partager des pratiques et insuffler des collaborations entre nos façons de lutter et de pratiquer la ville.

Circuit d’actions réalisées dans les différents endroits occupés par dis/location.

Cet ouvrage poursuit la réflexion amorcée par les membres et collaborateurs de DARE-DARE avec le premier volet de Dis/location: projet d’articulation urbaine, qui a amené le centre à déménager ses bureaux en 2004 dans un abri installé provisoirement au square Viger jusqu’en 2006.

L’intervention vise à mettre en rapport l’extérieur du bâtiment avec les locaux de la Mission. Avec l’aide de cette dernière, et par l’utilisation de divers matériaux, l’intervention viendra transformer, voire envelopper, la façade extérieure du bâtiment, tout en proposant une nouvelle lecture de l’intérieur des locaux.

Une soirée d’imagination, de projets et de visions urbains pour le viaduc Van Horne et ses environs Rosemontais.

Le projet consiste à peindre les couvercles des puisards situés dans les quartiers entourant le parc sans nom où DARE-DARE a élu domicile en juillet 2006.

SPURSE est un collectif hybride à ramifications internationales qui touche à l’art et à l’architecture. SPURSE s’intéresse à la reconstruction des lieux communs, par un examen de l’urbanité avec une approche psycho-géographique.

DARE-DARE entend poursuivre sa réflexion et son expérience lors des rencontres Autour de l'Agora, où artistes, sociologues, architectes et activistes présenteront des approches, des visions, des modes d'intervention visant à repenser la conceptualisation, l'aménagement et l'organisation du paysage urbain.

Les participants(es) à cette édition qui a pour thème l'Accident: Randall Anderson, Catherine Carmichael, Philippe Hugues, Harold Klunder, Patric Lacasse, Caroline Lavoie, Douglas Scholes et Myriam Yates.

Inspirée par un stationnement extérieur de la Basse-Ville, Stéphanie Pelletier a décidé d’intervenir dans ce lieu. Un monticule de neige sale occupait un espace de stationnement et s’offrait comme matière exploitable.

En période de canicule, le projet Hot Spots s’intéresse à la sphère des loisirs et aux transformations que la pratique de ceux-ci occasionne sur l’espace urbain et les interactions sociales.

Nos frontières nous divisent. Nos frontières nous rapprochent. Nos frontières nous appartiennent. Elles sont géographiques, cartographiques, politiques, linguistiques, ethniques, sociales, économiques, culturelles… Elles sont infinies. Mais, elles ne sont pas pour autant indéfinies.

L’artiste nomade Nicolas Chiffe étudie l’architecture et l’histoire des grandes villes nord américaines à partir desquelles il crée des « hypothèses architecturales oniriques ».

Dans cette intervention extérieure, la Chambre qu’évoque le titre est un cabanon aux dimensions d’un hangar de ruelle de Montréal, auquel l’artiste avait greffé des moniteurs vidéo.

Yves Gendreau a installé une pancarte de chantier sans inscription sur un terrain vague du centre d’affaires de Montréal.