Programmation

Hannah Jickling et Valerie Salez s’appliquent à la tâche de pelleter la neige comme le font la plupart des habitants des pays nordiques. Sauf qu'ils délaissent un peu l’aspect « gestion et maintenance » des espaces et proposent une toute autre approche.

Douglas Scholes ouvrira sur le site un chantier de construction et y érigera une structure. Cette structure sera cependant inhabituelle car, dès le début de son érection, elle commencera à s'affaisser.

Exploration de la temporalité : Intérioriser le temps profane « divisé » du ici-maintenant dans un temps continu, unifié. Redonner un sens sacré à l'usage du temps à travers l'action performative. Un travail physique sur la lenteur, la répétition, l'immobilité et le déplacement forcé.

Les commissaires de La chute ont proposé à DARE-DARE un projet en deux temps où dix artistes québécois se rendent à Bogota et où DARE-DARE accueille quatre artistes colombiens.

Le milieu académique et le grand public débattent souvent des critères de reconnaissance de l’œuvre littéraire. L’importance accordée à un livre reflète les valeurs d’une société. Le projet Five Important Books détourne ces questions des discours normatifs pour les replacer entre les mains des lecteurs qui savent encore apprécier un bon livre.

« BUREAU© » présente durant les fins de semaine de juillet une série de cinq tentes volantes et d’installations de BUREAU près du canal Lachine.

Au travail résulte d'une résidence singulière: une série de tournages in situ réalisés à DARE-DARE avec la complicité de son équipe.

L’exposition de Psychopompe se veut une réflexion sur des questions récurrentes en art: la mort, l'humour, le corps.

Julie Andrée T. a préparé un projet en galerie qui combinait une action performative à un investissement de l’espace, un projet de recherche et de création basé sur l'expérience de points de rencontre entre le corps, l'objet et l'espace par des principes tels que la fusion, le passage, la juxtaposition ou la superposition.

Robyn Moody a installé un kiosque d’« enlèvement de marques » dans la galerie anticorps.

Ce projet requérait la participation d’artistes montréalais qui ont eu pour consigne de transformer l’espace de DARE-DARE en « environnement hostile à l’art ».

Deux interventions publiques de midi au coucher du soleil.

La position du spectateur dans l'œuvre est un sujet important et actuel que Karen Spencer aborde en utilisant la stratégie de la dualité: d'une part, une rencontre personnalisée autour d'une action très simple dans la chambre et d'autre part, l'inscription de sa vie personnelle et intime dans le contexte plus officiel de la galerie.

À l'occasion de ses quinze ans, les membres et ami(e)s de DARE-DARE vous convoquent à quatre jours de défoulement collectif qui vous guideront, nous l'espérons, sur le chemin du bonheur.

Par des textes, des chansons et une gestuelle d’une précision remarquable, elle retraçait l'évolution de son identité en tant que femme, artiste, et membre d'une famille juive.

Geneviève Crépeau (enceinte de huit mois!) en compagnie de ses deux acolytes, chantait les hauts et les bas de la vie d'artiste.