À chaque fois que j'ouvre une grammaire, je suis happée par ces phrases en italiques ou caractères gras à des fins d'exemples grammaticaux. Bien des fois, j'en oublie l'étude de la règle, tant elles m'obnubilent par leur sens perdu, phrases sacrifiées à la seule cause de la grammaire.
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Marie-Line Laplante
GrammaireEn savoir plusChloé Beaulac
Destination : Nulle partEn savoir plusJe veux que la roulotte de DARE-DARE soit perçue comme un pit stop lorsqu’on est sur un nowhere. Pour un instant, laissez-vous transporter dans l’imaginaire d’une cabane à patates, d’une binerie, d’un sanctuaire ou d’un bureau de camping aperçu ou visité lors d’un road trip.
Marie-Andrée Poulin
YOU ARE ON A MOHAWK LANDEn savoir plusCette idée est inspirée d’une collaboration précédemment réalisée avec la communauté de Kahnawake. Par le projet, je souhaite créer un dialogue symbolique entre les communautés colonisatrices et iroquoises.
GENEVIÈVE LETARTE
Fenêtre sans rideauEn savoir plusLa suite de poèmes inédits que je propose ici tient tout à la fois du haïku païen, du slogan intime, de la pub existentielle. Bref, une parole individuelle qui se veut collective selon le fameux « Je est un autre » de Rimbaud.
BLOGUEURS EN CAPTIVITÉ
Interventions dans l'espace public et sur le WebEn savoir plusBlogueurs en captivité, les artistes invités, Adam Bergeron (Québec) et karen elaine spencer (Montréal), ont accepté de relever le défi de l’emprisonnement et de vivre l’aliénation pendant les trois jours de l’événement.
MAUDE S. PILON
INSTRUCTION DERNIÈREEn savoir plusInviter les gens au lancement de la publication « les instructions inhospitalières » suite à la non propicité d’un projet due à la disharmonie de deux réseaux.
Arkadi Lavoie Lachapelle
Je t'aime comme tu haisEn savoir plusLe projet réinterprète la phrase-slogan « Je m'aime comme je suis ». Bien utilisée à la sauce mercantile pour vendre des produits ou promouvoir des idéologies visant le « bien être » (surtout auprès des femmes), elle évacue souvent du coup la remise en question soit : « Qui est-ce que j'aime ? ».
Geneviève Amyot
Nous sommes beaucoup qui avons peurEn savoir plusLa peur, et surtout son affrontement, sont au cœur de l’œuvre de Geneviève Amyot, et qui plus est dans la suite intitulée « Nous sommes beaucoup qui avons peur » que Les Éditions du Noroît ont publiée posthume en 2003.
Viviane Namaste
Quartier des spectacles : l'invisible est spectaculaireEn savoir plusDix énoncés invitent les passants à mieux comprendre le quartier dans lequel se situe l’enseigne lumineuse. Les énoncés visent à rendre visible des éléments oubliés de la vie quotidienne du Quartier des spectacles : la chanteuse populaire, l’art autochtone, la démolition de logements, la fermeture d’une épicerie arabe...
MAUDE S. PILON
Lectures publiques des instructions inhospitalièresEn savoir plusCes lectures, qui proposent une confrontation entre le textuel et le réel, se dérouleront, dans la salle d’attente, le corridor, le hall d’entrée, l’ascenseur, la cafétéria, la chambre du patient et le bureau du médecin d'un hôpital de Montréal.
SYLVIE LALIBERTÉ
En savoir plusSylvie Laliberté a commencé son travail par l'art de la performance en 1985, pour ensuite étendre sa pratique à la vidéo et l'écriture.
HÉLÈNE MATTE
Lyrisme objectif et mystagogie du poèmeEn savoir plusHélène Matte est une poète issue des arts visuels qui dit, une artiste plasticienne qui écrit.
FRANCYS CHENIER
Ars Memoriae - Les Nuits de la poésieEn savoir plusÀ partir de La Nuit de la poésie du 27 mars 1970 ainsi que celle du 28 mars 1980 comme ligne inspiratrice principale, Francys Chenier déambulera dans les rues du secteur du Quartier des Spectacles avec un charriot plein d’images créées par l’atmosphère et le climat de ces Nuits.
NICOLE BROSSARD
Cascade d'ubiquitéEn savoir plusUn corpus de poèmes issus de publications diverses de l'auteure.
JEANNE PAINCHAUD
Montréal, marée basseEn savoir plusDepuis toujours, je suis fascinée par l’art public et l’art de la rue, qui font le pari d’aller vers les gens et d’interpeller le quotidien du commun des mortels. Par ailleurs, frustrée que le haïku ne soit pas si connu, j’ai cherché longtemps à la façon de le diffuser autrement, et ainsi rejoindre un nouveau public de lecteurs.
Carl Trahan
labêteélémentaireEn savoir plusChacun des textes est composé d’une citation (en minuscules) concernant la foule ou la masse, et d’adjectifs/adverbes (en majuscules) tirés du vocabulaire publicitaire.