Programmation

Je veux connaître les déplacements de mes concitoyens ; voir où leurs itinéraires s'entrecroisent ; leur faire ressentir comment, en traçant ses allées et venues sur une carte, on peut se projeter dans le territoire et prendre conscience de la façon dont on le perçoit et le comprend ; montrer qu'en émergeant, ce dessin peut apporter une meilleure compréhension de la ville et de ses occupants.

Dans le cadre de la vente trottoir des Promenades Ontario, Dominique Sirois poursuit sa recherche sur les modes de présentation en s’inspirant de la forme du kiosque.

Noémi McComber s’intéresse aux monuments et aux emblèmes nationaux et réexamine leur place et leur pertinence face aux réalités géopolitiques et sociales d’aujourd’hui.

C’est avec plaisir que DARE-DARE accueillera l’artiste français Damien Beguet le mercredi 13 avril pour une présentation sur sa pratique artistique qui infiltre le milieu de l’industrie. Une démarche liant l’art et l’entreprise.

Pour son projet, Karen Kraven implique des participants — membres de la communauté locale, artistes, architectes — pour l’assister à réaliser le réaménagement éphémère d’un espace commercial du Quartier Hochelaga-Maisonneuve (3179 Ontario Est).

Projet de l'artiste Geneviève Rousseau dans le cadre de l'événement CUBE.

Julie Faubert porte un regard critique sur les mots qui nous permettent (ou non) de penser.

Le projet, intitulé 47 jours, questionne le rôle de l’artiste et la censure existante au sein des pratiques en art actuel.

Jacinthe Robillard explore le portrait documentaire par l’étude d’environnements domestiques de groupes sociaux spécifiques. Elle a un intérêt particulier pour l’expérience des autres et le lien intrinsèque qu’ils entretiennent avec leur milieu.

Une performance qui s’appuie sur la tradition orale. Un conte révélé par l’action, la danse. Le tout accompagné d’une vidéo de l’artiste Leslie Supnet.

Julie Faubert porte un regard critique sur les mots qui nous permettent (ou non) de penser, les mots que l’on ne malmène pas assez, les mots qui, pour être vraiment exacts, devraient eux aussi être inventés constamment.

Circuit d’actions réalisées dans les différents endroits occupés par dis/location.

Les dessins et contes urbains de Mona Sharma sont empreints de l’histoire du square Cabot et de ses alentours, rythmés par sa croissance et son déclin.

L’action même de dessiner apporte de nouvelles idées, forge des rencontres. Prendre une craie et tracer des dessins sur le ciment, c’est prendre la décision de vivre pour le moment présent, d’être ouvert et disponible aux éventualités du terrain, aux conditions météo et aux gens qui nous entourent.

Lone Orchestra est un projet où s’entremêlent vidéo, musique et performance. L’artiste japonaise anti-cool en fait également un projet de substitution multiple, de douce imitation et d’intime collaboration.

Ce projet participatif a été instigué par la souffrance liée à la dissension et l’aliénation qui pénètrent toutes les sphères de la vie en cette fin de première décennie du XXIe siècle.