Programmation

Nathalie Grimard vous initiera à une expérience totalement subjective. Elle vous invite au souvenir, à la rêverie, au fantasme et à la folie.

L’identification de l’individu, pour les besoins institutionnels, a été ramenée à un système de codes numériques.

Ce projet est un collection de notes, photographies et papier peint.

DARE-DARE invite les artistes de la dernière saison à créer une oeuvre n'excédant pas 3 pouces x 3 pouces.

Une installation regroupant des peintures et de la photographie.

L'exposition met en scène différents métissages : photo-peinture, photo-aquarelle, photo-vidéo et d’autres matériaux qui se couplent à la photographie.

Durant le passage de Lucie Gagnon et Julie Pelletier à DARE-DARE, l’espace de la galerie se transforme en atelier de travail.

L'installation est un PARA/SITE qui vise, dans un esprit ludique, à tester les résistances du système de l'art, son immunologie (!), en modifiant le contexte d'exposition ainsi que les habitudes de l'artiste et du spectateur.

Installation en galerie.

Installation, sculptures et photographies. Dans ce projet, la photographie s'intègre comme matériau constituant d'une oeuvre qui relie étroitement l'espace bi et tri-dimensionnel, l'un se prêtant à la construction de l'autre.

Les oeuvres de Suzanne Maurice n'opposent pas du discours et de la matière. Ses céramiques représentant des corps de femmes sont matière du discours dont la source en est le quotidien.

Née à Montréal, Sophie Lanctôt possède une maîtrise en peinture de l'Université Concordia.

Exposition en galerie. Alain Bouchard cherche à donner une valeur poétique autant aux objets qu'aux matériaux.

Carren Tyler désire rendre le langage visuel aisément accessible, voire familier au spectateur.

Pour la 4e édition, les artistes de la dernière saison sont invité·es à créer une petite oeuvre n'excédant pas 3" x 3".

L'ombre comme trace d'une présence, c'est ce que suggère le titre de la nouvelle série de photographies de Danielle Hébert, Clairière.