Programmation

Conquête de l'autre, négation de soi, dans chacun de ces portraits grandeur nature, le chasseur semble à la poursuite de quelque chose, le plus souvent à l'aide d'un objectif.

Tendre au néant, affûter la menace pour atteindre sa propre intériorité; les sculptures de pierre hamelin aiguisent ces visées, les rendent multiples.

L'oeuvre intègre sculpture, gravure et peinture, et met en scène les notions de dialogue, de rituel et de gestuelle perdues à travers l'univers des communications électroniques.

Retraits et résonances propose des mises en scène où l'eau et l'idée de transition qu'elle sous-tend devient l'élément central.

Guy Giard expose le dernier volet d'une série d'expositions itinérantes à travers le Canada.

Juxtaposés aux dessins d'Hélène Goyette, Britta Klingenstierna nous présente ces «cercles civilisés», série de vases en papier mâché.

Nathalie Ducharme présente des sculptures-céramiques inspirées principalement de l'architecture.

DARE-DARE invite les artistes à créer une petite oeuvre n'excédant pas 3 pouces x 3 pouces.

L'installation sculpturale de Natalie Roy nous convie à une rencontre avec des objets dénaturés de leur essence première.

Anna Boghiguian expose ses sculptures et oeuvres sur papier fabriquées à partir de matériaux divers trouvés dans son environnement immédiat.

Dans le cadre du Mois de la photo, la galerie présente le travail de Wyn Geleynse. Cet artiste de Toronto est reconnu pour la réflexion qu'il porte sur les opérations et la complexité de la mémoire.

La galerie DARE-DARE met en vente les œuvres des artistes Michèle Delisle, Marcelle Ferron, Peter Krausz, Francine Simonin, Serge Tousignant et François Vincent.

L’installation de Michèle Tremblay-Gillon prend en charge l’espace de la galerie DARE-DARE avec deux colonnes posées face à face sur les murs opposés.

La Cité des cathédrales intérieures, présentée chez DARE-DARE, est constituée de «petits temples-théatres juchés au sommet d’arcades retracent les folles aspirations des bâtisseurs de ziggurats.

La manière dont le hasard prendra forme… qui le sait? Mais il peut y avoir une sensation.

Plongée vers l’être intérieur, la recherche picturale de Darren Millington remanie notre perception de l’anthrope en une allégorie du corps et de son affect.