Programmation

Les participant.e.s de cet atelier exploreront la ville contemporaine à travers différentes théories et pratiques spatiales, politiques et sociales.

Cette conférence-expérience est consacrée aux enjeux de la communication dans l’espace public. La discussion entre représentants des milieux universitaire, communautaire et artistique est adjointe d'une visite du centre d’artistes DARE-DARE.

Le cœur du projet "Phony Monuments" est un parcours audio-guidé au sud de Montréal qui suit un trajet composé de différentes étapes entre les quartiers St-Henri et Griffintown, le long du Canal Lachine.

Au rythme du Kamer présente le travail de trois performeurs camerounais qui font battre le pouls profond de la terre avec des actions basées sur les réalités de leur contexte et de leur environnement.

Dans le cadre de La Foire d’art alternatif de Sudbury, Geneviève Massé propose d’accomplir un relevé intensif d’une semaine avec l’intention d’explorer Sudbury par les nombres et par les données concrètes du territoire. Le projet s'intitule ICount.

Le centre de diffusion d'art multidisciplinaire de Montréal DARE-DARE récidive pour une cinquième édition avec PASSEPORT DARE-DARE. Le public est convié à prendre part à cette activité de déambulation artistique!

karen elaine spencer propose de disséminer dans l’espace public des extraits de la Charte des droits et libertés du Québec, qu’elle a retranscrits sur de grands panneaux de bois.

« Le Chant des pistes » est une publication du centre d'artistes AdMare (Îles-de-la-Madeleine) sous la direction de l’auteure et commissaire Caroline Loncol Daigneault.

Ce projet consiste en de petits livrets où sont relatées de brèves histoires percutantes que les gens m'ont racontées au fil des ans.

SATELLITE nous permet de faire rayonner au delà du territoire montréalais des pratiques artistiques critiques et audacieuses.

DARE-DARE a organisé une parade festive dans les quartiers Petite-Bourgogne et St-Henri. Les citoyens étaient invités à déambuler et célébrer le paysage urbain avec famille, amis et compagnie.

Le projet se veut une plateforme mobile afin d’encourager la discussion dans l’espace public sur les conditions de travail des artistes et travailleurs culturels du quartier Saint-Henri, à travers le pain et d’autres manifestations artistiques.

Ce projet est le fruit d’une longue réflexion sur le rapport entre la répétition, l’expérience et le langage. Il s’agit d’une performance réalisée par un groupe de performeur·euse·­s qui effectuent plusieurs actions distinctes dans l’espace public.

Le projet aborde le canal de Lachine comme une entité, vue à travers les yeux et les actions du flâneur, un personnage créé par l'artiste Douglas Scholes.

L' œuvre est une installation éphémère monumentale dans une lignée se rapprochant du land art. Par ce geste artistique fort et sans équivoque, il crée un lien direct avec la problématique envahissante de l’agrile du frêne.

Guillaume La Brie répare des éléments de mobilier urbain. Cette action se voit toutefois détournée par ses intentions artistiques, soucieuses d'anomalies.