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Programmation

Mémoire vive

Initié par DARE-DARE en collaboration avec le Centre d’histoire de Montréal, Mémoire Vive dessinait un cadre de réflexion réunissant des artistes et des intervenants du domaine du patrimoine.

Guy Giard

Dans son travail de création, Guy Giard explore les liens intangibles qui unissent les gens par le partage d'une expérience commune tel le déracinement, la violence, l'isolement.


Ani Deschênes

Le travail d'Ani Deschênes cherche à révéler l'humain dans ses attitudes et comportements en s'insérant, comme un caméléon, dans notre milieu de vie, sur notre chemin par exemple, à la bibliothèque publique, dans le stationnement d'un parc nature, lors d'une visite en calèche dans le Vieux-Montréal.


Mireille Cliche

Histoires oubliées a pour but d'évoquer d'humbles histoires et de réveiller des émotions grandes ou moins grandes pour ouvrir les portes du souvenir à ceux qui l'ont perdu, en des endroits où la mémoire a été effacée.


Caroline Boileau

Symptômes relocalisés, le projet qu'elle développe pour Mémoire vive, s'intéresse à l'histoire de la santé publique à travers les faits, les statistiques et les publicités de médicaments qu'elle a trouvées lors de recherches en archives.


ATSA - Action Terroriste Socialement Acceptable

Du 9 août au 2 septembre, Les murs du feu propose une exploration de la Main (boul. Saint-Laurent) à travers ses incendies. Le projet se déroulera en deux temps, lors d’une soirée incendiaire le vendredi 9 août et dans le cadre d’un trajet piétonnier.


Internationale Virologie Numismatique

Horatio Nelson: 1758-2002 est une intervention orchestrée par l'Internationale Virologie Numismatique (IVN), une désorganisation qui s'intéresse à la subversion et au détournement des concepts de pouvoir, d'aliénation et d'oppression.


Denis Lessard

Denis Lessard se penche sur les conditions d'immigration et de vie de la communauté russe montréalaise, marquée par une diversité de classes, de religions, de convictions politiques et d'expériences antérieures d'immigration.


Terres en vue / Nadia Myre

À travers la démarche artistique attentive de Nadia Myre, qui reprend la technique traditionnelle du perlage pour oblitérer le texte de la Loi sur les Indiens, une révélation s'actualise et jette un éclairage radical sur le clivage entre l'intention légaliste et la réalité.


La charrette

Une session intensive de travail en équipe où se sont rencontrés des intervenants de différents domaines pour proposer des idées sous forme de projets, à partir d’une problématique précise.


VLAN Paysages

VLAN paysages continue son exploration des sites laissés au hasard des mutations de la ville, perçus comme autant de cases-mémoire urbaines qui conservent et dévoilent, par leur vide, des traces et des couches d'usage, des unités de paysages passées ou présentes.



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Initié par DARE-DARE en collaboration avec le Centre d’histoire de Montréal, Mémoire Vive dessinait un cadre de réflexion où artistes et intervenants du domaine du patrimoine étaient appelés à partager méthodes de travail et d’investigation, stratégies, moyens d’intervention et manières de façonner l’histoire afin d’initier et de poser des gestes dans la ville pour en activer la mémoire et se l’approprier. Il s’agissait d’un laboratoire, un chantier d’essais, d’idées et d’actions s’adressant autant à un public pris sur le vif dans les rues de Montréal, qu’aux visiteurs du Centre d’histoire ainsi qu’aux milieux des arts visuels et de l’interprétation de l’histoire. L’événement s'est déroulé du 31 mai au 22 septembre 2002.


Présentation

L'intention: autour de questions qui nous amènent à repenser les rapports entre la mémoire, les communautés et la ville, réunir des artistes, des créateurs et des professionnels de l'histoire. Comment se construit la mémoire? Comment existe-t-elle dans la trame urbaine? Comment se transmet-elle au sein des communautés? À quoi et à qui sert-elle?

À partir de là, Mémoire vive dessine un cadre de réflexion où artistes et intervenants du domaine du patrimoine sont appelés à partager méthodes de travail et d'investigation, stratégies, moyens d'intervention et manières de façonner l'histoire afin d'initier et de poser des gestes dans la ville pour en activer la mémoire et se l'approprier. Il s'agit d'un véritable laboratoire, un chantier d'essais, d'idées et d'actions s'adressant autant à un public pris sur le vif dans les rues de Montréal, qu'aux visiteurs du Centre d'histoire ainsi qu'aux milieux des arts visuels et de l'interprétation de l'histoire.

Chacun des projets présentés dans le cadre de Mémoire vive possède sa logique propre. Ils se déroulent dans la durée ou de manière ponctuelle, se superposant tels des strates, se chevauchant ou se succédant les uns aux autres. Beaucoup se manifestent de façon spontanée selon un horaire flexible ou même indéterminé.

Constituant une programmation en soi, les événements de Mémoire vive se verront dévoilés graduellement tout au long de l'été sur le site Web de DARE-DARE, ainsi que par la diffusion de communiqués et d'envois postaux mensuels. En tout temps, à compter du 31 mai et jusqu'au 22 septembre 2002, Mémoire vive occupe le Centre d'histoire de Montréal où la salle d'exposition temporaire se transforme en laboratoire évolutif. Plusieurs des participants interviennent également dans l'exposition permanente, y créant des parcours alternatifs.

DARE-DARE a initié l'aventure Mémoire vive en septembre 2001. Les étapes de recherche et de production ont été ponctuées de rencontres et de discussions régulières, selon les besoins et pistes explorées par les artistes et créateurs, avec les équipes de DARE-DARE, du Centre d'histoire de Montréal et des spécialistes en archéologie, en géologie, en urbanisme et en histoire.

Les participants de Mémoire vive ont été choisis de façon à rassembler des approches et attitudes diversifiées et complémentaires. Ainsi, la mémoire se trouve mise en œuvre au travers des regards obliques où l'on distingue, par exemple, l'esprit du poète, du scientifique, du documentaliste, du militant, du détective, de l'utopiste, de l'immigrant, du déraciné, du soignant. Mais la démarche de chacun surprend, dérive, se transforme et ouvre vers quelque chose de plus vaste qui demeure difficile à nommer et à identifier. D'un ancien quartier ouvrier au Vieux-Montréal touristique des visites en calèche, de l'église d'une communauté orthodoxe russe à un site de fouilles archéologiques, c'est toute une relecture de l'histoire de la ville et de son tissu social qui s'opère, dans un mouvement d'aller et retour entre soi et l'autre, l'individu et la collectivité, le conscient et l'inconscient, le passé et le présent. Dans ce processus, la mémoire est pensée comme un lien permettant de s'écarter sans pour autant se perdre, de naviguer entre, de se repérer et de se re-connaître.

- Raphaëlle de Groot
Instigatrice et coordonnatrice de Mémoire vive



L'origine du projet

Explorer la ville. Dans le domaine public: agir pour semer le doute, lutter contre l'indifférence, poser des gestes et aller à la rencontre de l'Autre. Risquer. Voilà quelques-uns des motifs qui amènent DARE-DARE à soutenir les pratiques urbaines de façon active depuis le remaniement de son mandat en 1996. Cette nouvelle orientation donne lieu à une réflexion sur le sens qui se dégage des processus et des contextes de création non conventionnels. Afin d'approfondir cette recherche, DARE-DARE développe, à travers sa programmation régulière et par le biais de projets spéciaux, des structures flexibles de production et de diffusion où l'échange, la rencontre et l'expérimentation sont à l'avant-plan.

C'est cette démarche ainsi que son implication ponctuelle au Centre d'histoire de Montréal, qui a poussé Raphaëlle de Groot, artiste et membre de DARE-DARE, à proposer Mémoire vive, un laboratoire où l'investigation artistique se lie à l'enquête historique pour produire des relectures personnelles de l'histoire de la ville. En continuité avec L'algèbre d'Ariane, un projet international d'échange et de coopération initié par Stéphane Gilot et Caroline Boileau en 1997, Mémoire vive s'inscrit dans la volonté de DARE-DARE de rejoindre de multiples publics et de développer des collaborations avec des institutions, des organismes et des individus. D'ailleurs, c'est peut-être là où se situent les dimensions les plus expérimentales du projet. En provoquant ce type de contexte de création, DARE-DARE bâtit une réflexion sur le terrain et se voit sans cesse nourri par les questions que suscitent l'interaction avec de nouveaux publics.

Mémoire vive est aussi motivé par le désir toujours renouvelé des membres de DARE-DARE de repousser les frontières de l'art en s'engageant dans des expériences déstabilisantes et dépaysantes. Cela, tant par le contexte de diffusion qu'offre le Centre d'histoire de Montréal qu'à travers le processus de création mis en œuvre. En effet, en réunissant des artistes et créateurs de plusieurs domaines (aménagement paysager, pratiques interdisciplinaires, performance, littérature, art engagé) et en sollicitant, à différentes étapes de la recherche, de la production et de la présentation, la collaboration de l'équipe du Centre d'histoire ainsi que de professionnels et d'intervenants du monde de l'archéologie, de la géologie, des archives, de l'histoire, de l'urbanisme, de la philosophie, des organismes humanitaires, des communautés culturelles, et de bien d'autres secteurs; les projets des artistes de Mémoire vive développent des ramifications inattendues qui nous amènent parfois en dehors du champ traditionnel de l'art. Vue ainsi, Mémoire vive prend la forme d'une aventure multidimensionnelle où, parallèlement aux projets et thématiques de chacun des artistes et créateurs participants, le public est invité à réfléchir au processus même de relecture, d'interprétation et d'appropriation de l'information et des données historiques; un processus ici alimenté par la rencontre d'une diversité de points de vues, d'attitudes, de partis pris, de moyens et de stratégies.

- Raphaëlle de Groot
Instigatrice et coordonnatrice de Mémoire vive
DARE-DARE, Centre de diffusion d'art multidisciplinaire de Montréal


À propos de l'instigatrice du projet

Raphaëlle de Groot a complété un baccalauréat en Arts visuels à l'Université du Québec à Montréal et au Purchase College, à New York, en 1997. Jeune artiste Montréalaise, elle expose activement depuis 1996 tout en s'impliquant à DARE-DARE, un centre d'artistes multidisciplinaire. Son travail de création investigue la mémoire autant à l'échelle de l'individu, comme processus identitaire, qu'à l'échelle de la collectivité, comme enjeu de la société contemporaine.

Parallèlement à ses projets d'artiste, elle développe un intérêt pour la muséologie à travers un stage de perfectionnement dans les arts (bourse du Fonds FCAR, 1998-99). Cette expérience l'amène à collaborer avec le Centre d'histoire de Montréal à deux reprises: En 1999, le Centre l'invite à réaliser une intervention urbaine à l'occasion des 150 ans de l'incendie du premier parlement du Canada-Uni et, en 2000, il lui confie la réalisation d'une exposition temporaire portant sur l'histoire des travailleuses en maison privée. Ce projet, intitulé Plus que parfaites. Chroniques du travail en maison privée 1920-2000, retrace l'histoire invisible des servantes, bonnes, nannies et aides-ménagères à travers une cueillette de témoignages et une recherche documentaire approfondie tout en impliquant activement les aides familiales actuelles dans la création d'un geste de mémoire.

Sa recherche personnelle, son implication à DARE-DARE ainsi que son expérience de travail au Centre d'histoire l'amène à proposer Mémoire vive, un projet qui donne à d'autres artistes et créateurs l'opportunité de se familiariser avec la démarche historique, de tenter une relecture personnelle de l'histoire de la ville.


Le jeu de l'exploration

L'histoire est vivante et inscrite dans la ville actuelle. Telles pourraient se décrire la vision et l'approche qui motivent l'équipe du Centre d'histoire de Montréal depuis sa fondation en 1983, et plus particulièrement depuis le réaménagement en 2001 de l'édifice et de son exposition permanente situés au cœur de la place d'Youville. Les activités du CHM sont donc tournées vers une démarche exploratoire s'arrimant à la ville, tant dans son tissu urbain que social. Le " nouveau " Centre d'histoire est en effet pensé comme une porte d'entrée nous redirigeant vers la ville pour y découvrir les lieux et traces de son histoire, ses quartiers et les gens qui les habitent. Au-delà de sa mission de diffuseur du patrimoine montréalais, le Centre d'histoire de Montréal cherche à jouer un rôle social et communautaire concret, faisant de ses espaces d'exposition un lieu accessible et utile qui évolue avec la communauté qui l'anime. Pour ses projets d'exposition, le CHM s'associe également depuis quelques années avec des organismes, des groupes et des regroupements qui rejoignent des champs culturels, des publics ou des territoires spécifiques. En permettant de créer des liens, ces alliances développent une approche de mise en relation durable et favorisent un apprivoisement réciproque, un réel échange " interculturel " dans tous les sens du terme entre des milieux diversifiés et des individus.

Réunissant artistes, créateurs et travailleurs du domaine de l'histoire, le projet Mémoire vive, réalisé en collaboration avec la galerie DARE-DARE, s'inscrit dans cette démarche en proposant un jeu de relecture et d'appropriation libre de l'histoire et de son inscription dans la ville. Pour les artistes et créateurs participants, il s'agit d'apprivoiser la démarche historienne et la communication historique destinée au grand public ; pour l'équipe du CHM, habituée à expliquer et à décrire, Mémoire vive invite à laisser un peu de place à l'ambivalence de l'évocation, à l'indéterminé et même au silence qui sont les matériaux privilégiés des artistes. En somme, tant pour les artistes que pour les interprètes en histoire, une aventure, afin que la mémoire vive.

- Jean-François Leclerc
Directeur du Centre d'histoire de Montréal
www2.ville.montreal.qc.ca/chm/chm.htm



Programmation

31 MAI 2002 :
Événement d'ouverture de Mémoire vive, 17h au Centre d'histoire

À PARTIR DU 31 MAI JUSQU'À LA FIN DE MÉMOIRE VIVE :

Laboratoire Mémoire vive dans la salle d'exposition temporaire du Centre d'histoire

Interventions dans l'exposition permanente du Centre d'histoire :
Horatio Nelson 1758-2002, IVN
Symptômes relocalisés, Caroline Boileau
Angélique 1734, Guy Giard
D'autres interventions s'ajouteront en cours de route

12 JUIN :
Noilamgyp, Terres en vues, performance sur le parvis du Centre d'histoire, 14h30

15 JUIN :
Angélique 1734, Guy Giard, Geste de mémoire, sur le parvis du Centre d'histoire de 15 à 17h et soirée thématique Mon Angélique dans le Laboratoire Mémoire vive au Centre d'histoire de 20 à 22h

20, 21, 22 JUIN :
Indian Act, Nadia Myre, au Centre d'histoire de 11 à 15h

23 JUIN :
Montréal russe, visite commentée à l'église Saints Pierre et Paul à l'occasion de la Pentecôte orthodoxe à 14h30

À PARTIR DU 24 JUIN :
Promenade mémorable, Ani Deschênes, intervention dans les calèches du Vieux-Montréal

27, 28, 29, 30 JUIN :
Indian Act, Nadia Myre, au Centre d'histoire de 15 à 17h

30 JUIN :
Angélique 1734, Guy Giard, Les Panis, esclaves autochtones, conférence de Marcel Trudel au Centre d'histoire à 15h

JUIN et JUILLET DE FAÇON SPONTANÉE ET PONCTUELLE :
Symptômes relocalisés, Caroline Boileau, seize actions-rencontres dans des lieux publics

À PARTIR DU 1ER JUILLET POUR UNE DURÉE DE VIE INDÉTERMINÉE :
Horatio Nelson 1758-2002, IVN, intervention sur la place Jacques Cartier

DU 2 AU 28 JUILLET :
Histoires oubliées, Mireille Cliche, interventions dans le quartier Rosemont

4 JUILLET :
Histoires oubliées, Mireille Cliche, intervention aux jardins communautaires situés entre la rue Masson et la place Basile-Patenaude, de 17h30 à 20h (en cas de pluie, le lendemain)

7 JUILLET :
Angélique 1734, Guy Giard, Le contexte social de la Nouvelle-France, conférence de Marcel Trudel au Centre d'histoire, à 15h

14 JUILLET :
Montréal russe, Denis Lessard, visite commentée à l'église Saints Pierre et Paul à l'occasion de la fête patronale à 14h30

Histoires oubliées, Mireille Cliche, intervention à l'église Saint-Esprit (coin Masson et 6e avenue), de 11 à 13h (en cas de pluie, le dimanche 28 juillet, à la même heure)

18 JUILLET :
Histoires oubliées, Mireille Cliche, intervention au parc Le Pélican (intersection Masson et 1re avenue), de 14 à 17h (en cas de pluie, le lendemain)

19 JUILLET :
Remblai-déblai, VLAN Paysages, inauguration de l'installation extérieure sur la rue Léo-Pariseau au coin de l'avenue du Parc, au bord de l'échangeur de 17 à 19h

24 JUILLET :
Histoires oubliées, Mireille Cliche, intervention au Centre Masson (2705, Masson), de midi à 15h (reporté au lendemain en cas de pluie)

DU 23 JUILLET AU 11 AOÛT :
Remblai-déblai, VLAN paysages, exposition dans le Laboratoire Mémoire vive, au Centre d'histoire

27 JUILLET :
Remblai-déblai, VLAN paysages, Causerie, au Centre d'histoire, de 14 à 17h.

DU 30 JUILLET AU 25 AOÛT :
Montréal russe, Denis Lessard, projection continue du film Le Christ est ressuscité de William Cunning, dans la salle de projection du Centre d'histoire

9 AOÛT :
Les murs du feu, ATSA: soirée incendiaire à compter de 20h30, coin Saint-Laurent et Sainte-Catherine

9 AOÛT JUSQU'AU 22 SEPTEMBRE :
Les murs du feu, ATSA, le 9 août : soirée d'inauguration du circuit urbain Les murs du feu, en place jusqu'au 2 septembre

17 AOÛT :
Montréal russe, Denis Lessard, visite commentée de la Petite Russie

23 AOÛT :
Remblai-déblai, VLAN paysages, soirée de poésie à l'installation extérieure sur la rue Léo-Pariseau au coin de l'avenue du Parc, au bord de l'échangeur

24 AOÛT :
Montréal russe, Denis Lessard, visite commentée de la Petite Russie

27 AOÛT AU 22 SEPTEMBRE :
promenade mémorable, vidéo et questionnaire «vrai ou faux», Ani Deschênes, dans la salle de projection du Centre d'histoire

27 AOÛT :
promenade mémorable, Ani Deschênes, exposition dans le Laboratoire Mémoire vive au Centre d'histoire

1er SEPTEMBRE :
Montréal russe, démonstration de décoration d'œufs de Pâques traditionnels, dans le Laboratoire Mémoire vive au Centre d'histoire

2 SEPTEMBRE :
Remblai-déblai, VLAN paysages, remblayage à l'installation extérieure sur la rue Léo-Pariseau au coin de l'avenue du Parc, au bord de l'échangeur

13 ET 14 SEPTEMBRE :
Charrette Mémoire vive

15 SEPTEMBRE :
Charrette et table ronde Mémoire vive, journée publique au Centre d'histoire de Montréal dès 10h

Symptômes relocalisés, Caroline Boileau, présentation dans le Laboratoire Mémoire vive au Centre d'histoire à 17h30

12 SEPTEMBRE :
Angélique 1734, Guy Giard, History of blacks in Quebec, conférence de Veronica Johnson

18 SEPTEMBRE :
Angélique 1734, Guy Giard, Interpréter Marie-Joseph Angélique, conférence de Micheline Bail et Martine Chartrand

19 SEPTEMBRE :

Angélique 1734, Guy Giard, De Haïti à Montréal, d'un passé esclavagiste à aujourd'hui, conférence de Claude Moïse

20 SEPTEMBRE :
Angélique 1734, Guy Giard, L'esclavage en 2002, conférence et soirée thématique Angéliques aujourd'hui, conférence de Joanne Doucet

22 SEPTEMBRE :
Fin de Mémoire vive


Instigatrice et coordonnatrice de Mémoire vive : Raphaëlle de Groot
Adjointe à la coordination de Mémoire vive : Alexandra McIntosh
Coordonnatrice administrative de DARE-DARE : Marianne Thibeault
Coordonnateur artistique de DARE-DARE : Jean-Pierre Caissie
Design d'exposition : Marie-Suzanne Désilets et Geneviève Rousseau
Graphiste : Patrick Pellerin
Conception du site web (2002) : Matt Killen


Pour ce projet, DARE-DARE bénéficie du soutien financier du Fonds de stabilisation et de consolidation des arts et de la culture du Québec, du Conseil des Arts du Canada - Bureau Inter-arts et du Conseil des arts Du Maurier.

DARE-DARE remercie ses membres, le Centre d'histoire de Montréal, la Ville de Montréal et ses donateurs. Le Centre bénéficie d'un soutien au fonctionnement du Conseil des arts et des lettres du Québec et du Conseil des arts de Montréal.

Visitez le site du Centre d'histoire de Montréal: www.ville.montreal.qc.ca/chm